Le thème, proposé par Fardoise, pour septembre : Elle fume, tu fumes, ils ou elles fument !
Voici un tableau de Christian Schad photographié au Musée Royal des Beaux-Arts de Bruxelles lors de l’exposition « Berlin de 1912-1932.

Christian Schad est né le 21 août 1894 à Miesbach, bourgade médiévale de Haute Bavière à 50 kilomètres de Munich.
Il quitte le lycée peu avant le baccalauréat. Il veut suivre sa vocation : être peintre. Avec le soutien de ses parents, il part donc pour Munich. Mais les cours de l’école des beaux-arts lui deviennent vite insupportables. Il les abandonne au bout d’un semestre. Cependant, il s’est initié aux courants en vogue dans les galeries. Ainsi a-t-il découvert l’ expressionnisme, dont ses premiers tableaux portent la marque.
Mobilisé dans l’infanterie en août 1914, il simule une maladie de cœur et il est réformé. Il quitte l’Allemagne pour un sanatorium en Suisse. Arrivé à Zurich en août 1915, il rencontre bientôt les animateurs du Cabaret Voltaire, le couple formé par Hugo Ball et Emmy Hennings, à l’origine du mouvement Dada.
Surtout, il se lie avec l’écrivain pacifiste Walter Serner, partisan d’un dadaïsme principalement « intellectuel ». … suite Christian Schad – myMaxicours et Christian Schad — Wikipédia

Bonjour j’aime beaucoup ce tableau, un bon choix. Bonne journée Amicalement MTH
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Ce choix me plait bien, une découverte
Bonne journée
Bisous
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C’est une très belle peinture…
Peu souriante cette fumeuse élégante
Bises Josy et bon WE
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Coucou Josy.
Un beau tableau , mais quel regard triste et désabusé pour cette jeune femme. L’artiste peintre et la toile sont pour moi une découverte.
Bises et bon samedi – Zaza
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« A Berlin, Schad fréquente les cabarets et autres lieux de plaisirs. Il y rencontre certains de ses futurs modèles. Dans les œuvres les mettant en scène, Schad les resitue dans leur cadre familier, jouant sur le décalage existant entre la rigidité de la pose de la figure principale et l’agitation qui règne en arrière-plan ; c’est une fois de plus la solitude de l’individu qui est traitée.
Christian Schad sera le grand portraitiste de la Nouvelle Objectivité. Tout au long des années 1920, il peint les portraits de ses contemporains, dans un style qui se veut fidèle à la tradition des maîtres anciens. Il en résultera une œuvre dans laquelle fond et forme concordent pour donner de la réalité une vision incisive et glacée, où règne la solitude des corps et des âmes, incarnée par des modèles choisis parmi les acteurs de la vie décadente de l’époque. » Christian Schad – myMaxicours
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Elle n’est pas souriante, mais très élégante.
Ma grand-mère fumait avec un fume cigarettes.
j’espère que tu vas bien ? Bon week-end.
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Magnifique tableau, Josy !!! Bon après-midi ! Bisous
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C’est un tableau superbe, cette femme avec ses yeux cernés est l’image même de la fumeuse invétérée. Merci pour cette superbe présentation !
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bonjour
un beau tableau
l ‘élégance au bout du fume cigarette
bonne journée kénavo
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Excellent choix Josy avec ce peintre que je découvre . Une adepte de la cigaretet qui semble dans un autre monde .
Bon week end
Bises
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je pense que tu auras plus de renseignements dans la lecture de la réponse que j’ai mise chez Zaza au sujet du modèle présenté. Bisous à vous deux et merci de me lire; j’ai admiré les deux tableaux que tu nous a présentés avec brio ! Bon dimanche
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Quelle classe! Cela faisait vraiment femme fatale!! Tu les vois nos jeunettes ainsi?????? 🙂
Bises Josy
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A Berlin, Schad fréquente les cabarets et autres lieux de plaisirs. Il y rencontre certains de ses futurs modèles. Dans les œuvres les mettant en scène, Schad les resitue dans leur cadre familier, jouant sur le décalage existant entre la rigidité de la pose de la figure principale et l’agitation qui règne en arrière-plan ; c’est une fois de plus la solitude de l’individu qui est traitée.
Christian Schad sera le grand portraitiste de la Nouvelle Objectivité. Tout au long des années 1920, il peint les portraits de ses contemporains, dans un style qui se veut fidèle à la tradition des maîtres anciens. Il en résultera une œuvre dans laquelle fond et forme concordent pour donner de la réalité une vision incisive et glacée, où règne la solitude des corps et des âmes, incarnée par des modèles choisis parmi les acteurs de la vie décadente de l’époque. » Christian Schad – myMaxicours.
Bises de Belgique !! Nos jeunettes mettent, à présent, leur peau en exergue « embellie ou plutôt meurtrie » par le tatouage…
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Très bon choix pour ce thème avec cette femme élégante au regard bien triste..
Douce soirée.
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