Atelier Chez Ghislaine 256
SUJET 1
TEXTE COMPRENANT LES MOTS :
PRENDRE – PARTIR – CHEMIN – SUITE – SOUCIS – SENTIR
Prendre les chemins de pierres ou de sable …Qu’importe, mais partir !
Sentir la pluie ou les vents m’envahir …
Longer les rus, les rivières ou le bord de la mer … Qu’importe, mais noyer ses soucis !
Qu’importe la suite … Mais m’en aller pour mieux revenir !
J.D’Hoest
On ne voit bien qu'avec le coeur (bis) 
Très belle photo, tout comme celle du champ coupé en haut du blog.
Ton texte me fait penser à « la bohème » d’Arthur Rimbaud,
Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot soudain devenait idéal ;
J’allais sous le ciel, Muse, et j’étais ton féal ;
Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées !
Mon unique culotte avait un large trou.
Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou
Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;
Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon cœur !
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Merci à toi ! Comme c’est beau la Bohème quand on a vingt ans … La bise de Bruxelles !
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En plein accord avec toi ! Faire encore ce qu’il est possible de faire, en gardant notre candeur devant les beautés de la nature.
Aller jusqu’au bout, la fleur au fusil. Bisous.
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Super, Josy !!! Mille bravos !!! Défi joliment rendu ! Bonne journée. Bisous
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Joliment dit et illustré! Il faut seulement du courage!!!! Bises
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Merci pour cette participation et surtout la photo de ton cheminement au bord de l’eau, sur les sentiers.
On ressent un calme bienfaisant. Merci Josy……Je t’embrasse …..
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Je disais donc quand wordpress ne m’apas permis de laisser un commentaire, que j’étais entièrement de ton avis quand à cet appel à partir . Joliment illustré aussi par ta photo le texte.
Bon jeudi
Bises .
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Chère Josy,
Ton poème est très touchant.
J’aime particulièrement la façon dont tu as exprimé le désir de partir et prendre le chemin pour se débarrasser de ses soucis.
La phrase » noyer ses soucis » est une image très forte, et l’idée que » Qu’importe la suite » apporte une belle touche de lâcher-prise.
C’est un très joli texte !
Tu as parfaitement intégrer les mots Prendre, partir, chemin, suite et soucis pour créer cette ambiance mélancolique mais pleine d’espoir.
Juste dommage que le mot Sentir de la liste 256 – sujet n°1 n’ait pas trouvé sa place, mais la poésie est bien là.
Bien amicalement, Marie Sylvie
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